mardi 24 mars 2015

Le professeur d’Histoire Louis Chagnon persécuté par la République pour avoir dit une vérité historique sur Mahomet

Le professeur d’Histoire Louis Chagnon persécuté par la République pour avoir dit une vérité historique sur Mahomet

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L’affaire Louis Chagnon : Madame le ministre, autorisez-vous vos enseignants à qualifier Mahomet d’assassin ?

Par Louis Chagnon —-

Louis Chagnon, professeur certifié d’histoire, avait été victime d’un lynchage politico-médiatique à partir de 2003 pour avoir osé enseigner à ses élèves la vérité historique sur la vie de Mahomet. Il décrit dans cet ouvrage le cauchemar qu’il a subi, prisonnier d’une machine infernale mise en place par une poignée de musulmans aidée du M.R.A.P. et de la L.D.H.
Il raconte son combat laïc pour briser le politiquement correct qui nous muselle.

 » J’ai raconté l’intégralité de mon histoire dans le livre : « L’école française et l’islam, l’histoire d’un professeur d’histoire victime du terrorisme intellectuel », publié aux éditions Godefroy de Bouillon. »

Il est aussi l’auteur entre autres de deux ouvrages d’histoire :
« le début des conquêtes arabo-musulmanes – mythes et réalité » (Ed. Godefroy de Bouillon)

et « la conquête musulmane de l’Egypte (639-646) » (Ed. Economica).

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J’ai enseigné l’histoire et la géographie au collège Georges Pompidou de Courbevoie en septembre 2003, puis le 1er octobre j’ai quitté l’Éducation nationale pour intégrer le ministère de la Défense à ma demande.

Quelques jours auparavant, j’avais donné des cours sur l’histoire du monde musulman, dans lesquels j’avais révélé à mes élèves que Mahomet avait été un voleur, pour avoir pillé les caravanes de la Mecque, et un assassin, en faisant égorger 600 à 900 juifs en un jour, en référence au massacre de la tribu juive des Qurayzah en mai 627.

Après mon départ de l’Éducation nationale, j’ai appris qu’un collectif de parents d’élèves s’était constitué contre moi pour demander ma suspension de l’Éducation Nationale, en raison de mon cours sur le monde musulman en classe de 5ème.
Une pétition avait été remise au principal du collège où on m’accusait de racisme anti-musulman et d’avoir dit que « Mahomet va se transformer en voleur et en assassin (…) il va imposer sa religion par la terreur, (…) il fait exécuter 600 à 900 juifs par jour ». Plusieurs articles avaient déjà paru sur l’affaire dans les journaux le Parisien, Métro et sur Internet, sans que je sois au courant !
En fait, la pétition en question était signée par sept personnes dont deux seulement étaient des parents de mes élèves de 5ème. Ce collectif de musulmans était dirigé par Monsieur Kamel Zmit, médecin anesthésiste et sa femme Madame Nora Zmit responsable du service des permis de construire à la mairie de Courbevoie qui étaient les parents d’une élève de 6ème   Yasmine Zmit dont je n’avais jamais été le professeur.
Lorsque j’ai pu avoir accès aux feuilles de cours, plusieurs mois plus tard, au rectorat de Versailles, j’ai vu que quelqu’un avait ajouté à la main les mots « par jour » sur la feuille de l’élève Ramy El-Hoss dont le parent avait signé la pétition, la falsification (attestée plus tard par une analyse graphologique et scientifique) avait pour but de me discréditer en tant que professeur d’histoire.
L’Éducation nationale loin de me soutenir m’a poursuivi et a imposé la censure musulmane sur l’école laïque de la République française :
Le 5 novembre 2003, le rectorat de Versailles, sur la pression du collectif de parents musulmans, a ordonné la suppression des pages concernant le cours, qui ont donc été arrachées des cahiers par les élèves eux-mêmes. Mon cours, rigoureusement exact du point de vue historique, a donc subi une censure religieuse musulmane et cette censure a été exécutée par les fonctionnaires de la République !
Enfin, le 17 novembre, une lettre de Daniel Bancel, recteur de l’Académie de Versailles, proche de l’ancien ministre socialiste Lionel Jospin, m’informait qu’une procédure disciplinaire était engagée contre moi, à la suite d’un rapport fait par un Inspecteur pédagogique qui ne m’avait jamais vu ni parlé.
L’inspecteur pédagogique Paul Stouder estimait dans ce rapport que comme tous les nomades, les tribus arabes pratiquaient la razzia et qu’on ne pouvait pas qualifier cette pratique de vol. Pire encore, il affirmait que dans l’Islam, la lutte contre les marchands de la Mecque avait été la première forme de la guerre sainte, ce qui la rendait légitime.
Ainsi, pour cet inspecteur, fonctionnaire de l’État français, les meurtres musulmans sont légitimes quand ils sont exécutés dans le cadre du Djihad ! Il passait sous silence le massacre de la troisième tribu juive de Médine et m’accusait aussi de « racisme anti-musulman ».
Je suis donc passé devant un conseil de discipline et à ma stupéfaction le rectorat a argué de la phrase tronquée et falsifiée du collectif d’activistes musulmans, sans apporter aucun document original qui m’aurait permis de mettre en évidence cette escroquerie.
J’ai bien été obligé de constater que le rectorat était complice de ces individus. J’ai écopé d’un blâme pour « formulation simpliste » et « attitude de provocation ou maladresse ». Pour autant, le conseil de discipline n’a pas retenu l’accusation de racisme de l’inspecteur pédagogique et a reconnu la véracité historique des faits enseignés. La conclusion s’impose d’elle même : le fait d’affirmer que quelqu’un qui a égorgé plusieurs centaines de juifs est un assassin, est donc pour le rectorat de Versailles, une « provocation ou une maladresse ».
Même si cette sanction est minime, je ne l’ai jamais acceptée. J’ai donc entamé une procédure en 2004 auprès du Tribunal administratif pour contester le blâme.
L’administration de l’Éducation nationale n’a pas été la seule à me poursuivre car le collectif musulman avait également saisi le MRAP et la Ligue des Droits de l’Homme. Ceci a donné lieu à une campagne médiatique qui me présentait comme un «islamophobe », un « raciste anti-musulman ».
La plainte de la LDH a finalement été rejetée par le Parquet de Nanterre et le MRAP, devant le Tribunal Correctionnel de Nanterre où il avait réussi à me faire traîner en mars 2004, a finalement renoncé à me poursuivre, en arguant que le blâme du conseil de discipline m’avait sanctionné « à la hauteur de la gravité des faits », induisant ainsi que j’avais été sanctionné pour « racisme » par le conseil de discipline et Kamel Zmit ajoutant que le blâme avait été voté à l’unanimité.
Tout ceci était parfaitement faux et j’ai donc poursuivi pour diffamation tous ceux qui m’avaient attaqué, à savoir Kamel Zmit, Jean-Claude Dulieu, responsable de la communication externe du MRAP et Mouloud Aounit, secrétaire général du MRAP. Celui-ci déclarera à la télévision le 13 janvier 2005 que le délit de blasphème devait être réintroduit en droit français ! Tout enseignement critique de l’islam serait ainsi légalement interdit et passible de poursuites pénales.
En première instance début 2005, la diffamation a bien été reconnue mais les prévenus, Mouloud Aounit, Jean-Claude Dulieu et Kamel Zmit ont été relaxés « au bénéfice de la bonne foi » (alors que le Tribunal avait entre les mains l’expertise graphologique du cahier d’élève falsifié !)
Je devais également verser à Kamel Zmit 500€ de dommages et intérêts sous prétexte qu’il avait été stigmatisé dans la presse comme islamiste, ce qui est une aberration juridique (la loi n’autorise pas le versement de dommages et intérêts au diffamateur par le diffamé). En appel, en septembre 2005, le tribunal n’a pas voulu retenir la diffamation mais a supprimé les dommages et intérêts que je devais à Kamel Zmit. En cassation, le jugement a été confirmé. Je n’ai donc pas pu les faire condamner.
J’ai également porté plainte pour faux et usage de faux, sur la base de la feuille de cours falsifiée mais le tribunal n’a pas donné suite.
Par contre, en 2008, le Tribunal administratif a cassé le blâme au motif que mes propos étant historiquement exacts, il n’y avait pas de faute professionnelle ce qui est la logique même. Cette décision est pour moi un acte qui confirme la liberté pédagogique du professeur dont tous les collègues peuvent arguer.
Il n’en reste pas moins qu’en France, qualifier d’assassin quelqu’un qui a fait égorger 600 à 900 juifs est devenu « raciste ».
Je considère donc la France comme étant devenu un État officiellement antisémite puisqu’un fonctionnaire français peut être sanctionné s’il qualifie d’assassin quelqu’un qui a fait égorger des centaines de juifs.
Maintenant la question reste toujours posée aux professeurs d’histoire : Est-il possible de transmettre la vérité historique sur le monde musulman aujourd’hui en France ?

 J’ai raconté l’intégralité de mon histoire dans le livre : « L’école française et l’islam, l’histoire d’un professeur d’histoire victime du terrorisme intellectuel », publié aux éditions Godefroy de Bouillon.

Publié le  par Louis Chagnon  dans Riposte Laïque


Dhimmitude & totalitarisme : De Louis Chagnon à Philippe Isnard, deux professeurs d’Histoire persécutés pour non-conformisme

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Malheureusement cette histoire est souvent présentée comme exclusivement antijuive parce que la censure islamiste concernait le rappel du massacre de Juifs par Mahomet. L’affaire doit pourtant être considérée dans une dimension plus vaste. Que serait-il arrivé à ce professeur, si au lieu de parler du massacre de Juifs il avait évoqué les innombrables massacres de chrétiens effectués par l’Islam depuis sa création ? Des jeunes identitaires qui protestaient contre la construction d’une immense mosquée à Poitiers n’ont-ils pas été condamnés pour avoir rappelé que Charles Martel a arrêté les arabes à Poitiers? Aujourd’hui l’Islam est enseigné obligatoirement en classe de cinquième dans les collèges laïcs de la République, cela fait partie des programmes imposés: les quatre piliers de l’Islam etc… Ils sauront tout sur l’édulcoration de l’Islam et rien sur les travers de Mahomet et cela ne fera que favoriser l’islamisme au détriment du christianisme… Nous sommes en plein régime de dhimmitude obligatoire!
Depuis les débuts des persécutions du professeur Louis Chagnon jusqu’à aujourd’hui avec leur conclusion, l’actualité a changé la donne. Entre-temps Louis Chagnon a du répondre à de nombreux procès et en intenter d’autres avec grande détermination et moult dépenses. La justice, dans cette affaire, est même allée jusqu’à reconnaître que le djihad est un acte légal de religion!
Ces rebonds judiciaires ont fait passer le temps et modifier le langage des ministres de la République. Le 14 août 2014 le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, ne déclarait-il pas encore sur RTL: « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad! ». Entre le mois d’août dernier et maintenant il n’ y a que six mois de temps mais de nombreux attentats islamistes en France même commis par ceux-là mêmes que le ministre de l’Intérieur encourageait au djihad; la nature islamiste de ces attentats, d’abord niée par les autorités publiques, a finalement été reconnue faute de pouvoir continuer à nier ce qui crevait les yeux de tout le monde. Mais oui c’est au nom de l’islam que les attentats sont commis en France et en Europe, au nom du Coran que des chrétiens sont égorgés, au nom de l’islam et donc du Coran que des lycéennes et autres femmes et fillettes sont réduites en esclavage, que d’autres personnes sont crucifiées, enterrées vivantes etc. Y compris en grand nombre des musulmans eux-mêmes jugés trop peu soumis aux lois de la charia, par les barbus.
Dans la lignée du verdict de la justice française reconnaissant le droit au djihad (la guerre sainte musulmane) de s’exercer sans tomber sous le coup de la loi, nous avons les propos de la ministre de la Justice, socialiste républicaine et laïque: Christiane Taubira, à propos de l’esclavage musulman; Christiane Taubira auteur de la loi sur l’esclavage ne déclarait-elle pas dans un article du 4 mai 2006 à l’Express  : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les jeunes arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids des méfaits des Arabes. »  Par contre il fallait instituer la repentance des autochtones contre la traite négrière, sans aucun souci de la réalité historique, ni aucun souci de ce que les jeunes autochtones auraient à porter, bien au contraire, on leur mettait sur le dos bien au-delà de la réalité historique. Mais rien n’est trop lourd à porter pour l’autochtone blanc. Et contre les autochtones on peut distiller la haine sans retenue ni crainte d’attentats.
la traite arabe
Loi liberticide Pleven 1972, et les suivantes jusqu’aux lois Taubira
Le lobby juif en France est très puissant, et protégé par une loi spécifique, la loi Pleven. La loi Pleven votée le 1er juillet 1972 a fait pas mal de petits depuis: dont la Loi Gayssot et les lois Taubira qui se succèdent. Tandis que les Français de souche européo-chrétienne sont systématiquement discriminés dans leur propre pays et ne bénéficient d’aucune protection particulière, au contraire Manuel Valls -qui pense que « l’Islam est une chance pour la France »-, en déclarant, par exemple, tout dernièrement, suite aux attentats islamistes de Paris, que les musulmans subissent l’apartheid et sont dans des ghettos, a fait retomber implicitement la faute de ces attentats sur la population autochtone de France, ce qui est un comble! D’ailleurs pour « récompenser » les prétendus victimes d’apartheid dans les prétendus ghettos, il s’est empressé d’allouer des fonds publics pour ces populations majoritairement musulmanes, de même qu’il a fait augmenter le nombre d « aumôniers » musulmans dans les prisons…
Philippe Isnard, Professeur d’Histoire, viré de l’Education nationale…
Philippe Isnard
Dans un autre registre, il suffit de se rappeler les injustices flagrantes  advenues à un autre professeur de l’Education Nationale, sous le ministère de Luc Chatel, sous Nicolas Sarkozy, je veux évoquer l’affaire  Philippe Isnard. Celui-ci, professeur d’Histoire-géographie à Manosque, en Provence, avait porté à la réflexion de ses élèves de quatrième, en cours d' »Éducation Civique Juridique et Sociale »  des arguments pour et contre l’avortement, selon le cahier des charges de sa profession. Dont la diffusion d’une vidéo montrant les tourments qu’un enfant à naître subi en étant avorté de force par la médecine.
Philippe Isnard n’avait pas abordé une vérité concernant les Juifs mais une vérité à propos du plus faible des êtres humains, celui qui est encore en gestation dans le ventre de sa mère. Il a lui aussi écrit un livre sur ses démêlés avec l’Education nationale. Mais non contente de l’avoir viré, l’administration l’a en plus poursuivi de sa haine.
Le tabou du mammouth - Philippe Isnard
Voici ce qu’il en disait lui-même le 11 décembre 2012:
Lors de ma révocation, je n’ai pas pu m’exprimer dans les médias qui ne m’ont pas accordé de droit de réponse. Ce livre [le combat du Mammouth, mon combat pour la vérité] est donc d’abord un témoignage de résistance au totalitarisme culturel qui règne dans notre pays. Je voulais que la population, qui a été manipulée, ait accès à la réalité des faits. En particulier le soutien massif que m’ont apporté les élèves. Par exemple, dans la classe ou j’avais initié ce débat, tous les élèves ont rédigé, d’eux-mêmes, une pétition de soutien, qu’ils ont tous signée.
Je voulais aussi montrer, par des extraits des documents officiels, le terrorisme intellectuel qui règne dans l’Éducation nationale. Par exemple des extraits du rapport de la cellule de soutien psychologique, boudée par les élèves. Ou encore mes notations et appréciations au long de ma carrière, qui sont toutes élogieuses.
Surtout, je veux montrer que, si nous ne résistons pas à un état qui est désormais clairement totalitaire, les actes de répression et de privations de libertés contre ceux qui ne pensent pas comme lui seront de plus en plus nombreux. Les élèves d’un collège se sont ainsi vu interdire de se signer lors de la visite d’une cathédrale, sous peine de sanctions!
(…)
J’ai été révoqué, mesure réservée d’habitude à des criminels pédophiles. (…)
L’Éducation nationale a même écrit à la direction diocésaine de l’enseignement catholique de Nice pour les intimider et empêcher mon recrutement. Je suis donc de fait interdit d’enseignement en France. Les directions diocésaines catholiques, à ce jour, n’ont pas eu le courage de me recruter, bien qu’elles en aient juridiquement le droit. Cela en dit long d’ailleurs sur la soumission de l’enseignement catholique à l’État français, puisque ses dirigeants n’osent même plus utiliser les lois de la République, qui permettent en l’occurrence mon recrutement dans les écoles sous contrat avec l’État. En effet, je ne suis révoqué que de l’enseignement public. (…) (Source)
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